Discuter avec une femme à Créteil, tout simplement par téléphone
« On dit que la nuit porte conseil, mais parfois, elle invite surtout à parler. » C’est une phrase que j’ai entendue un soir, et elle me revient souvent quand je compose un numéro, espérant tomber sur une voix sincère. À Créteil, la ville s’endort doucement, mais pour moi, c’est le moment idéal pour une vraie rencontre, même si elle commence simplement par un appel. J’aime ces discussions nocturnes, où le téléphone devient un pont entre deux inconnus, où l’on se découvre sans se presser. Je cherche à échanger avec une femme de la région, quelqu’un qui apprécie la simplicité d’une conversation honnête, sans faux-semblants. Si tu es aussi curieuse de voir où une voix peut mener, peut-être que cette rencontre au bout du fil sera le début d’une belle complicité.
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« On ne se connaît jamais vraiment tant qu’on n’a pas entendu la voix de l’autre dans la nuit. » Cette phrase, je l’ai lue quelque part, ou peut-être que je l’ai inventée, je ne sais plus. Mais elle me revient souvent, surtout quand la ville de Créteil s’endort doucement, que les lumières s’allument dans les tours du Mont-Mesly ou que le silence s’étire du côté du quartier de l’Échat. C’est là, après 20h, que je ressens ce blocage, cette frustration de ne pas trouver d’oreille attentive, de vraie discussion complice. Les bars ferment tôt, les rues se vident, et l’ambiance devient presque intime, mais un peu trop silencieuse à mon goût.
C’est pour ça que j’ai pris l’habitude de passer des appels, de chercher la rencontre autrement. Le téléphone, c’est devenu mon refuge, mon moyen de briser la solitude sans avoir à sortir. J’imagine parfois une femme, peut-être du côté du Port ou de la Pointe du Lac, qui, elle aussi, attend qu’on l’écoute vraiment. Parce qu’au fond, ce qui manque le plus, ce n’est pas la présence physique, mais cette écoute réelle, celle qu’on trouve rarement dans les conversations pressées du quotidien.
La voix, au téléphone, elle ne triche pas. Elle hésite, elle rit, elle se pose, elle se confie. C’est là que naît la vraie rencontre, celle qui ne s’arrête pas à l’apparence ou à la première impression. J’aime ces discussions où l’on se découvre sans se voir, où chaque mot compte, où l’on prend le temps de s’écouter. À Créteil, la nuit, il y a comme une promesse dans l’air, celle de croiser quelqu’un qui cherche la même chose : une discussion complice, sincère, sans détour.
Alors, je compose un numéro, j’attends ce premier « Allô » qui ouvre la porte à tout. Et je me dis que, peut-être, ce soir, quelque part entre le Mont-Mesly et la Pointe du Lac, une voix répondra à la mienne, et que la nuit semblera moins longue, moins vide. Parce qu’au fond, c’est ça que je cherche : une vraie rencontre, au bout du fil, dans la ville qui s’endort.