Et si votre prochaine rencontre à Toulon passait par un appel ?

« Parfois, il suffit d’une voix au bout du fil pour se sentir moins seule. » Cette phrase, entendue un soir de mistral à Toulon, résonne souvent en moi. Je suis une femme discrète, mais mon cœur déborde de choses à partager. J’aimerais trouver une complice, une femme de la région, pour échanger simplement, comme si nous nous connaissions déjà. La rencontre n’a pas besoin d’être en face à face : un téléphone suffit pour tisser ce lien, pour parler de nos journées, de la mer, ou de ces petits riens qui font du bien. Si toi aussi tu ressens ce besoin d’écoute et de chaleur humaine, n’hésite pas à me contacter. Peut-être que cette discussion sera le début d’une belle amitié, ici, à Toulon, entre deux femmes qui se comprennent.

« On ne se connaît jamais vraiment tant qu’on n’a pas entendu la voix de l’autre. » Cette phrase, je l’ai lue un soir, griffonnée sur un banc du Mourillon, et elle m’est restée. Peut-être parce qu’à Toulon, entre le tumulte du centre-ville et le calme retrouvé en rentrant chez moi, j’ai souvent ressenti ce besoin d’échanger, de parler, mais sans le poids du regard. C’est étrange, mais la rencontre par téléphone, c’est comme une discussion complice à l’abri du monde, où la voix devient le seul visage. J’imagine parfois ces femmes, discrètes ou rieuses, dans leur appartement du Pont du Las ou sur un balcon à Saint-Jean-du-Var, prêtes à décrocher pour un appel qui ressemble à une parenthèse. Ici, à Toulon, on croise tant de gens sans jamais vraiment les connaître. Mais au téléphone, il n’y a plus de jugements sur l’apparence, juste la sincérité d’une voix, la chaleur d’un rire, la douceur d’un silence partagé. C’est ce plaisir simple, celui d’entendre quelqu’un pour de vrai, qui m’a fait préférer la discussion par téléphone. On se parle comme si on se connaissait déjà, sans gêne, sans masque. Et parfois, il suffit d’un appel pour que la solitude s’efface, pour que la ville semble moins grande, moins bruyante. La voix, c’est un peu la clé de la rencontre, ici à Toulon, où l’on rêve tous, je crois, d’un peu plus d’écoute et de vrai.